Codex medicamentarius seu pharmacopoea parisiensis

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Description

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Codex medicamentarius seu pharmacopoea parisiensis ex mandato facultatis medicinae parisiensis in lucem edita. Editio auctior et emendatior.

Joanne-Baptista-Thomas Martinenq – Guillelmum Cavelier

Plein veau marbrée, dos à 5 nerfs orné aux caisson et d’un pièce de titre en maroquin lie de vin, toutes tranches rouges, 255 x 202, 268p. 1748. Nouvelle édition augmentée et améliorée. [La première édition avait paru en 1638]. Suivi de Index rerum alphabeticum, paginé ij-xxxiv. In fine : Ordo pharmacopoeorum parisiensium anno 1748, 3p. Errata et Privilège du Roy. Précédé de : Arrest de la cour de parlement qui enjoint aux apoticaires etc. 2p. ; Praefatio, 4p. ; Pondera, 1p. ; Catalogus doctorum regentium saluberrimae facultatis medecinae parisiensis anno 1748, 6p. ; Index medicamentorum simplicium, paginé j-cxxviij ; Index capitum, paginé cxxix-cxxxij. Puis le texte. Bel entête au titre du texte, et quelques jolis culs-de-lampe. Ex-libris quasi biffé au titre général. Extra : recette manuscrite du « Syrop de Glaubert » sur l’avant-dernière page vierge. [ou sel de Glauber : Ce sel est connu sous différentes dénominations : sulfate de soude, « sel admirable », « sel cathartique de Glauber », soude sulfatée ou vitriolée. Il a été découvert par Glauber en 1658, en examinant la décomposition du sel marin par l’acide sulfurique. En France, il provenait principalement de Lorraine, où étaient exploitées des sources salées. Par la suite, il a été extrait du chlorure de sodium. Il est incolore, très efflorescent, d’une saveur fraîche, moins amère que celle du sulfate de magnésie. C’était un purgatif efficace et très employé. (Dorvault, 1886, p. 962 ; cité par wikip.)] Intérieur insolé avec rousseurs éparses, mais globalement propre, intègre. Coins et champs frottés, coins légèrement émoussé, un coin arasé. Plats frottés avec épidermures, taches, des manques en plat supérieur. Mors brièvement fendus en tête et pied des mors, petit manque en tête des deux mors ; quelques trous de vers en mors supérieur. Dos frotté avec épidermures aux nerfs ; coiffe et queue manquantes ; des petits manques en tête et queue de dos. Exemplaire bien ferme.