L’état de l’homme dans le pécher originel

L’état de l’homme dans le pécher originel. Où l’on fait voir quelle est la source et quelles sont les causes et les suites de ce pécher dans le monde

Anonyme [Adrian Beverland – trad. Par Fontenai]

Non précisé [conforme à l’édition mentionnée comme suit : « Imprimé dans le monde en 1731]

Pleine basane marbrée, dos 5 nerfs, orné d’une pièce de titre en maroquin lie de vin, richement orné également de caissons floraux à encadrement, avec variation des motifs en queue et coiffe, toutes tranches rouges, tranchefile, signet, champs à liserés, plats avec encadrement à liseré noir, 134 x 80, 241p. Hors table. (Erreur de pagination en dernière page corrigée à la plume). Sans date. Mais conforme à la 3ème édition de 1731, comme l’indique d’ailleurs une note bibliographique manuscrite reliée avec (voir ci-dessous). Page de titre manquante. Première page en partie restaurée, avec petit manque de texte en pied. Pour le reste complet. Une double page avec un passage souligné au crayon de couleur rouge ; sinon une note manuscrite en marge de pied des pp30-31. Une vignette de bilbiothèque (?) collée en têtre de garde. Intérieur globalement propre et intègre. Plats légèrement frottés mais très bons, propres et intègres. Champs et coins frottés. Mors frottés. Mors supérieur brièvement ouvert en tête du plat inférieur. Coiffe et queue frottés avec épidermures. Nerfs frottés. Bon exemplaire. Exemplaire fort intéressant car enrichi d’une note bibliographique manuscrite reliée avec, en début de volume (verso de la garde -1- à 3), et en fin de volume 2p. On remarque également, sans doute du même, pp30-31, en marge de pied, une note manuscrite au sujet d’un passage souligné. Cette note bibliographique réfute (en citant partiellement ses sources) qu’il s’agit d’une traduction du Peccatum originale de Béverland, mais (bien qu’il soit proche dans le raisonnement) l’attribue au libraire Jean-Frédéric Bernard, chez lequel il aurait été imprimé. Il s’appuie notamment sur les éditions de 1740 et 1741 pour le justifier. Il s’agirait donc bien ici de la 3ème éd. augmentée et corrigée de 1731. Suit une note biographique dudit libraire.

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